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TOLENTINO

By Alma Irigoyen 2012

 

Sensualidad y osadía, dos cualidades que definen el carácter de la artista plástica mexicana. En su obra se pueden apreciar piezas claves con formas de un Tamayo, líneas de un Siqueiros y la visión de un Chirico, todas estas envueltas en alucinantes personajes, que descodifican el festín de sabores que al paladar ocular causan. En sus paradojas sutilmente delineadas, con sensuales pinceladas, se puede apreciar a través de una mirada felina su visión del mundo. Misma que al instante nos seduce con sus alusiones satíricas. Su obra ha sufrido la transición de los sueños vívidos. Reflejando antes tragedias y dramas sociales para ahora convertirse en algo más individual, existencial, aspectos que son sin duda de mayor importancia para estos tiempos ya que el cambio viene de uno mismo. Su obra nos grita aun se puede soñar con pureza e inocencia. Es un despertar artístico que nos invita a reflexionar para brotar del sueño y hacerlo realidad. Es arte para el alma, un festejo a la vida, es poesía a lo inconcebible que transporta al instante al espectador a ese mundo metafísico en el cual todos deberían vivir. Tolentino emerge al unísono de su obra misma que se magnifica día a día.  

  Alma Irigoyen 2012.

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Exposicion Individual Universidad de Guanajuato sala El Atrio 2007

"Imagenes de ciclopes delineándose"  Tolentino

Critique d’exposition, par Sabrina Roy

 

Ce qui est bien de voyager à l’étranger, c’est de découvrir des nouveaux styles et artistes. Je suis présentement au Mexique, dans la ville de Guanajuato. Cette ville coloniale et universitaire a beaucoup à offrir. Je suis entrée pas hasard dans ce petit espace, long et étroit, à l’apparence d’un passage secret, donnant le ton à l’exposition de Gabriela Tolentino, sa première à Guanajuato. Ayant 60 expositions solos à son actif, elle nous propose sa vision personnelle des relations hommes/femmes. Thème épuisé pensez-vous, classique sujet de conversation de toutes vraies filles qui se respectent, l’artiste semble adopter une mentalité «de gars». Pour elle, l’amour n’existe pas, elle préconise plutôt les rapports érotiques. Alliant le grotesque et le cirque, ses toiles affiches des personnages en chair et contorsionnés. Les corps féminins n’ont pas à être interprétés comme objets de désir, mais plutôt comme source de plein pouvoir, en pleine possession de ses moyens, ayant le contrôle de la situation. L’œuvre que j’ai le plus aimé est sans aucun doute « Muestra de sueno » (Échantillon de rêve), ou le corps sectionné, orné d’une queue de diable, représente pour moi le concept de femme fatale, celle que l’on peut regarder pas qu’il est peu recommandé de fréquenter. La prédominance du bleu accuse une atmosphère de froideur avec une touche de passion, suggérée par le rouge. Les lignes fines augmentent la féminité des représentations, les rendant agréables èa regarder. Gabriela Tolentino exposera pour la première fois à New York en juin et j’espère que son style mexicain sera séduire les Nord-Américains. Je lui souhaite bonne continuation.              

 

 Critique d’exposition, par Sabrina Roy

 JUNIO 2007

 http://www.secteur54.com/dossiers-tolentino.html

  

http://www.secteur54.com/index.html

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